ici on joue tout simplement Venez jouer et créer vos jeux, et POURQUOI PAS DISCUTER DE TOUT ET DE RIEN, |
| | LITTERATURE, POESIES, | |
|
+4lolote1508091 cry baby O-H de Warenghien Admin 8 participants | |
Auteur | Message |
---|
O-H de Warenghien Membre Actif
Messages : 82 Date d'inscription : 25/03/2013 Age : 69 Localisation : Plateau Est de Rouen
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Lun 29 Avr - 20:43 | |
| Mon doudou :albino: Je me souviens de ce jour, Il était dans mon berceau, Il était doux et si beau. Il s'en souviendra toujours. De moi et mon rire d'enfant. Il fut tellement secoué, Qu'il est un peu abimé. Mais c'est comme ça, maintenant. Il a vu toute ma vie, Il est encore avec moi. Et je pense qu'il restera Mon doudou et mon ami.
(2012, poème de ma fille à 11 ans) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Mar 30 Avr - 15:59 | |
| Le premier Mai c'est pas gai Je trime a dit le muguet Dix fois plus que d'habitude Regrettable servitude. Muguet, soit pas chicaneur, Car tu donnes du bonheur, Pas cher à tout un chacun. Brin d'muguet, tu es quelqu'un."Georges Brassens
|
| | | Admin Admin
Messages : 85 Date d'inscription : 21/12/2012
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Jeu 2 Mai - 13:29 | |
| | |
| | | Invité Invité
| Sujet: HAIKU du muguet Jeu 2 Mai - 13:34 | |
| le temps du muguet ses bouquets de son printemps Pour s'aimer longtemps.
**poètamateur |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 4 Mai - 6:20 | |
| Allons, ange déchu, ferme ton aile rose ;
Ôte ta robe blanche et tes beaux rayons d’or ; Il faut, du haut des cieux où tendait ton essor, Filer comme une étoile, et tomber dans la prose.
Il faut que sur le sol ton pied d’oiseau se pose. Marche au lieu de voler : il n’est pas temps encor ; Renferme dans ton cœur l’harmonieux trésor ; Que ta harpe un moment se détende et repose.
Ô pauvre enfant du ciel, tu chanterais en vain Ils ne comprendraient pas ton langage divin ; À tes plus doux accords leur oreille est fermée !
Mais, avant de partir, mon bel ange à l’oeil bleu, Va trouver de ma part ma pâle bien-aimée, Et pose sur son front un long baiser d’adieu !
Théophile Gautier |
| | | O-H de Warenghien Membre Actif
Messages : 82 Date d'inscription : 25/03/2013 Age : 69 Localisation : Plateau Est de Rouen
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Mer 8 Mai - 16:16 | |
| A mon avis A mon avis, l’Amour existe, La mort, la vie, rien n’y résiste, Car, voulez-vous que je vous dise, Il arrive sur nous par surprise… A mon avis, c’est une brise, Souffle de Fée, odeur exquise, Parfum, douceur, et la chamade Qui sursaute nos cœurs malades. A mon avis, si on refuse Lui donner nom, mille excuses, Il partira sans se tourner Vers celui même qui en rêvait. A mon avis, je vais vous dire Qu’en nos silences, dans nos soupirs, Il faut tendre nos mains vers lui, Et toujours lui répondre oui. A votre avis, dans nos silences, Savons-nous bien qui, à nous pense… Écoutons ce battement d’ailes Qui, tout en nous, de lui ou d’elle, Sont mots d’Amour, muets ou tristes, Car oui, vraiment, l’Amour existe. A mon avis, il faut y croire, Il est bonheur, il est espoir. Per F Jaouen © 00051062 – 101 |
| | | O-H de Warenghien Membre Actif
Messages : 82 Date d'inscription : 25/03/2013 Age : 69 Localisation : Plateau Est de Rouen
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Mer 8 Mai - 18:22 | |
| Les urodèles sont de retour :
Les urodèles sont de retour, Elles croient toujours en l'amour, Ça chamboule tout à la ronde, Et les grenouilles à la seconde.
Les urodèles sont de retour, Sur les nénuphars à l'entours, Les amphibiens se le coassent, Et dans la mare ils s'entassent.
Les urodèles sont de retour, Ça bouleverse tous les anoures, Les larves dans les eaux abondent, Et la panse des crapauds inonde.
Les urodèles sont de retour, Et des ranidés c'est le jour. Où elles peuvent à la ramasse, Bâfrer séant ce qu'elles amassent.
Les urodèles sont de retour, Sur les ondes c'est tout un parcourt, Pour ceux et celles que la faim, Est plus une fin qu'un moyen. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 18 Mai - 8:14 | |
| QUEL EST MON DESTIN ?
J'aurais voulu croire aux astrologues, aux voyantes, à tous ces perceurs du mystère de l'avenir, autrefois, alors que j'étais cet enfant au visage fermé dont on essayait d'enrichir l'imagination de je ne sais quelles histoires merveilleuses.
"C'est une petite brute !" se répétait-on à voix basse. Et ma mère, résignée, ne se donnait plus la peine de me raconter ses magiques épisodes. On me traitait en étranger.
De cette solitude naquit un trouble. Je découvris en moi le chemin qui mène aux régions calmes de la méditation. L'adolescence soulevait un rideau qui longtemps avait caché d'attrayantes perspectives. De ci, de là, ma confiance s'éparpillait. Je subissais l'attraction soudaine du destin - non pas que j'eusse à cet âge des raisons d'accepter mille sortes "d'avenir" - mais je sentais s'épanouir dans mon cœur, pareille à la fleur japonaise dans l'eau, la foi rayonnante qu'inspire la jeunesse à tout être désireux de conquérir une place parmi le fourmillement bigarré de la vie.
Quel serait mon destin ? Fantasque, alors négligeant ma tenue, j'imaginais un personnage - qui était moi - et auquel j'insufflais une religion charmante : l'Art.
Mais l'art, c'était humainement en somme, une collection de poètes, de peintres, de musiciens dont je trouvais souvent l'existence plus belle que l’œuvre.
Je devais apprendre plus tard que ces peintres, ces poètes, ces musiciens étaient eux-mêmes des artistes non pas seulement parce que leur talent et leur travail les avaient consacrés tels, mais encore parce que leur destinée - comme un tireur habile - avait fait mouche au plus profond de leur âme.
Cette "fatale loi" dont parlait si désespérément Musset se chargeait en un clin d’œil (n'en est-ce pas un dans l'éternité ?) de toutes les complications heureuses ou de malchance. Cela s'intitulait Destin et se jouait avec des personnages de fortune : le hasard, la perspicacité, la persévérance, le Talent.
En réalité, je me devinais une destinée de poète.
Mon destin peu à peu me devenait familier, je m'entretenais avec lui comme je l'eusse fait avec un camarade d'enfance, aussi franchement, aussi sûrement. Placide, il répondait à mes appels, profitant de son extrême puissance (je dirais même de sa complicité divine) pour m'accorder les grâces qu'il savait m'être nécessaires à la réussite d'un projet, au couronnement glorieux d'un temps de labeur.
J'ai quitté bien des Paradis pour suivre ce destin. Il se plaît à se déguiser, souvent, et sous le masque m'interroge d'une voix muée. Ses travestis affectionnés sont la musique, la littérature, la peinture. A ses questions insidieuses, je réponds comme un malin interpellé à la barrière d'un Corso : "Inutile mon vieux, je te reconnais ! Sous tes vêtements d'emprunt, tu trahis tes penchants les plus subtils et ta démarche est celle d'un mauvais comédien dont le trac compromet l'assurance. Bas le masque ! Mon destin ! Tu voudrais sans doute profiter de ton costume carnavalesque pour savoir ce que je pensais de tes initiatives. Inutile de recourir à de semblables procédés. Tu es mon destin, donc mon ami inséparable, tu portes en toi toutes les étoiles à long panache qui scintillent dans ma nuit, tu suis de ta hauteur mes balbutiements dont tu souris avec bienveillance. Je te dois ce respect sincère que seul on voue aux gens aimés, aux choses de beauté éternelle, destin qui de jour en jour après avoir ouvert la porte qui me séparait du domaine des songes entrebâille à présent celle du pays des réalités !"
Mon destin de poésie, un soir après un discours analogue a jeté bas son masque, a déchiré son costume, a revêtu le mien et nous sommes partis, tous deux - et je suis parti tout seul, sur la voie dont certains aiguillages me séparaient souvent du reste du monde. Texte écrit par Charles Trenet pour son examen d'entrée à la SACEM © - 1933 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 18 Mai - 8:46 | |
| -j'étais cet enfant au visage fermé. -Je découvris en moi le chemin qui mène aux régions calmes. -je me devinais une destinée de poète. -J'ai quitté bien des Paradis pour suivre ce destin. -Tu es mon destin, donc mon ami inséparable. -Je te dois ce respect sincère que seul on voue aux gens aimés. -Mon destin de poésie, un soir après un discours analogue a jeté bas son masque. -je suis parti tout seul, sur la voie dont certains aiguillages me séparaient souvent du reste du monde. |
| | | lolote1508091 Membre d'Honneur
Messages : 1122 Date d'inscription : 15/01/2013 Age : 60 Localisation : Evry 91000
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 18 Mai - 15:55 | |
| | |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 25 Mai - 10:19 | |
| LE PETIT NUAGE- la compagnie des nuages sombres me fait peur, j'ai donc décidé de les laisser et j'en ai profité pour m'éloigner
,mais j'avoue que c'est difficile d'être tout seul ici." " Cela tombe bien" lui répondit la brise, " Je vais te tenir compagnie un moment, car en fait la solitude me pèse ces jours-ci, à toujours pousser le même souffle, sans ne pouvoir jamais parler. et sans autre compagnie." Le petit nuage se posa alors à ses côtés, et se mit à sourire en se laissant transporter, par la douceur de cette brise légère. Ensemble ils traversent les plaines, les montagnes et les vastes champs de blé, sans se douter une seule seconde qu'à voyager ainsi, le manque de l'un comble la demande de l'autre. Une présence qui à n'en pas douter a changé leur vie, car dans ce monde de brutes et de géants
où les tempêtes et les ouragans font fureur ,
Joachim Du Bellay | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 25 Mai - 10:39 | |
| nuage
Flocon, tout de blanc vêtu, flocon fripon, De toutes formes, là haut, tu navigue. Dans le ciel azur ta silhouette se découpe En myriades de petites boules appelées moutons. Le vent te bouscule, et te modifie, intrigue, Par sa force il te désagrège ou te regroupe Gros, ou gras, nous te contemplons, petits chatons. En cieux ombrageux, tu te fais prodigue Mais si le mistral s'emballe, tu nous fais une entourloupe. Tu te grisaille, et copieusement, tu arroses les piétons. Parfois, ta colère exulte, et de grêlons tu nous prodigues. Bientôt apaisé, immaculé, tu redeviens coton.
**poètamateur |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 25 Mai - 12:14 | |
| Ballade < Quand à peine un nuage >
Quand à peine un nuage, Flocon de laine, nage Dans les champs du ciel bleu, Et que la moisson mûre, Sans vagues ni murmure, Dort sous le ciel en feu ;
Quand les couleuvres souples Se promènent par couples Dans les fossés taris ; Quand les grenouilles vertes, Par les roseaux couvertes, Troublent l’air de leurs cris ;
Aux fentes des murailles Quand luisent les écailles Et les yeux du lézard, Et que les taupes fouillent Les prés, où s’agenouillent Les grands bœufs à l’écart,
Qu’il fait bon ne rien faire, Libre de toute affaire, Libre de tous soucis, Et sur la mousse tendre Nonchalamment s’étendre, Ou demeurer assis ;
Et suivre l’araignée, De lumière baignée, Allant au bout d’un fil À la branche d’un chêne Nouer la double chaîne De son réseau subtil,
Ou le duvet qui flotte, Et qu’un souffle ballotte Comme un grand ouragan, Et la fourmi qui passe Dans l’herbe, et se ramasse Des vivres pour un an,
Le papillon frivole, Qui de fleurs en fleurs vole Tel qu’un page galant, Le puceron qui grimpe À l’odorant olympe D’un brin d’herbe tremblant ;
Et puis s’écouter vivre, Et feuilleter un livre, Et rêver au passé En évoquant les ombres, Ou riantes ou sombres, D’un long rêve effacé,
Et battre la campagne, Et bâtir en Espagne De magiques châteaux, Créer un nouveau monde Et jeter à la ronde Pittoresques coteaux,
Vastes amphithéâtres De montagnes bleuâtres, Mers aux lames d’azur, Villes monumentales, Splendeurs orientales, Ciel éclatant et pur,
Jaillissantes cascades, Lumineuses arcades Du palais d’Obéron, Gigantesques portiques, Colonnades antiques, Manoir de vieux baron
Avec sa châtelaine, Qui regarde la plaine Du sommet des donjons, Avec son nain difforme, Son pont-levis énorme, Ses fossés pleins de joncs,
Et sa chapelle grise, Dont l’hirondelle frise Au printemps les vitraux, Ses mille cheminées De corbeaux couronnées, Et ses larges créneaux,
Et sur les hallebardes Et les dagues des gardes Un éclair de soleil, Et dans la forêt sombre Lévriers eu grand nombre Et joyeux appareil,
Chevaliers, damoiselles, Beaux habits, riches selles Et fringants palefrois, Varlets qui sur la hanche Ont un poignard au manche Taillé comme une croix !
Voici le cerf rapide, Et la meute intrépide ! Hallali, hallali ! Les cors bruyants résonnent, Les pieds des chevaux tonnent, Et le cerf affaibli
Sort de l’étang qu’il trouble ; L’ardeur des chiens redouble : Il chancelle, il s’abat. Pauvre cerf ! son corps saigne, La sueur à flots baigne Son flanc meurtri qui bat ;
Son œil plein de sang roule Une larme, qui coule Sans toucher ses vainqueurs ; Ses membres froids s’allongent ; Et dans son col se plongent Les couteaux des piqueurs.
Et lorsque de ce rêve Qui jamais ne s’achève Mon esprit est lassé, J’écoute de la source Arrêtée en sa course Gémir le flot glacé,
Gazouiller la fauvette Et chanter l’alouette Au milieu d’un ciel pur ; Puis je m’endors tranquille Sous l’ondoyant asile De quelque ombrage obscur.
Théophile Gautier, Premières Poésies | |
| | | O-H de Warenghien Membre Actif
Messages : 82 Date d'inscription : 25/03/2013 Age : 69 Localisation : Plateau Est de Rouen
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 31 Mai - 11:33 | |
| (o: Merci à Edith... :o) Bonne fête des mères à vous mamans ! Où que vous soyez en ce jour présent… Nous pensons à vous à chaque instant. Notre mère fut pour nous un présent, Et qu’elle eut un ou plusieurs enfants.
Fils et fille nous sommes redevables ; Elevés tous par ton amour équitable, Tendre même avec ses petits diables, Eduqués de façon juste et admirable.
Dire que l’on s’en rendit déjà compte, Est une vue d’esprit, un simple conte, Simplement les années se racontent.
Maman sera toujours dans mon cœur, Entre toutes les mères, avec candeur, Reste ma préférée de par sa douceur, Et avec ce petit présent de prosateur ; Sache qu’on te fera toujours honneur… | |
| | | O-H de Warenghien Membre Actif
Messages : 82 Date d'inscription : 25/03/2013 Age : 69 Localisation : Plateau Est de Rouen
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 31 Mai - 11:38 | |
| ………………………………….....,('\.;;./') - Mon petit cheval a fière allure ……………………………~;)));;,)))))\\\\ - Il va à tölt et trotte à sa mesure ……………………..~;)))))))))))…(ô.)‘‘() – D'amble et galope de son pas sûr ………………………..…~;))))));.....……\.\ - Jamais ne se perd dans la nature ……………………~;)))))))))))….…./\...0.) – C'est une monture islandaise ..……;)))))\\.____,,;))))))‘..…/...`’~’’ - Une conquête a sang de braise ..…;)))))))).....................…( - Venu de Norvège par les falaises ..;))))))./…...............……..… \ - Se sentant itou partout fort aise ..;))))…(..………)…......……….….) - Cavale sur les champs de lave ..;)))…..\......./\…..….........../__ - Montre nous ton cœur de brave ;))…….../…./,../"""'"'""""(____ …) - Dans le vent par nos enclaves …*……..\…\.\..\…………...…\...'/../ - Des pays et îles scandinaves #..……….|...)|…)………….....|./../ - Noble monture de nos ancêtres …*……../…/./../....*.........([_,/ - Via les Vikings tu as des lettres ……….([_,/(_,/……...*....([_,/ - La loi proscrit de te compromettre ###,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, - Ton sang ancien tu peux transmettre | |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 31 Mai - 12:32 | |
| coucou O-H de Warenghien, je n'ai pas ton talent pour écrire, alors je me servirais de la plume de ceux qui en ont. Complainte du petit cheval blanc Le petit cheval dans le mauvais temps, qu'il avait donc du courage ! C'était un petit cheval blanc, tous derrière et lui devant. Il n'y avait jamais de beau temps dans ce pauvre paysage. Il n'y avait jamais de printemps, ni derrière ni devant. Mais toujours il était content, menant les gars du village, A travers la pluie noire des champs, tous derrière et lui devant. Sa voiture allait poursuivant sa belle petite queue sauvage. C'est alors qu'il était content, eux derrière et lui devant. Mais un jour, dans le mauvais temps, un jour qu'il était si sage, Il est mort par un éclair blanc, tous derrière et lui devant. Il est mort sans voir le beau temps, qu'il avait donc du courage ! Il est mort sans voir le printemps ni derrière ni devant. Paul FORT | |
| | | O-H de Warenghien Membre Actif
Messages : 82 Date d'inscription : 25/03/2013 Age : 69 Localisation : Plateau Est de Rouen
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 31 Mai - 12:47 | |
| Excellent...! Et joliment mis en musique par Brassens... :o) | |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 31 Mai - 13:00 | |
| C'est un poème que j'avais beaucoup aimé quand j'étais écolière, | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 14 Juin - 6:39 | |
| D evine qui es là, devant nous, rêveuse, A sa démarche, assurément, N ous avons à faire à une danseuse. S age et énergique,bien assorti cependant, E ternelle force et douceur, tout cela est passion !
A regarder, cette beauté m'ébloui. V oire tant de grâce, fascination ! E crivains ! à vos plumes, ici C ette créature, est la lumière en mouvement !
L 'apanage de cette beauté naturelle A u doux regard voluptueux est envoûtant.
V ive et souriante, tu m'adresse la parole, I rradié par ta jolie frimousse, j'ai trébuché, E n tombant, mon coeur s'est emballé.
**poètamateur |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 14 Juin - 6:52 | |
| I nitiations aux débordements de plaisir D e toutes distractions et tous temps, E n tous lieux, quelques soit les circonstances, E duquons nous, renforçons nos connaissances. S upposons que notre écriture et la F raicheur des mots nous fasse réfléchir, R assure et nous stimule notre cerveau A u fil du temps, quelque soit la saison, I ci et là, à tous moments, C haque instant de loisirs, H aut et forts en couleurs E pelons ces paroles douces pleine de S agesse sans sous-entendus. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Ven 14 Juin - 7:08 | |
| Merci ton texte est plein de fraîcheur.... c'est délicieux.... |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Sam 15 Juin - 12:45 | |
| attention, pas anonyme .. Tony |
| | | EDITH246 Membre d'Honneur
Messages : 4354 Date d'inscription : 21/12/2012 Age : 73 Localisation : à 500 mettre d'ici
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, Dim 16 Juin - 7:22 | |
| formidable tu m'as fait découvrir le nom de cet auteur. Le langage des fleurs Est le reflet d’un cœur Un cadeau à offrir Sans l’ombre d’un rougir. TONY | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: LITTERATURE, POESIES, | |
| |
| | | | LITTERATURE, POESIES, | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|